« Nous connaissons le GEIQ 69 depuis longtemps. L’intérêt, c’est que cette formule d’insertion conduit à la qualification du public concerné… Ce qui en fait un mode de recrutement, avant d’être un moyen de répondre aux clauses d’insertion. Nous employons d’ailleurs plus de jeunes issus du GEIQ, un ou deux chaque année, que nous n’en avons réellement besoin pour répondre aux clauses d’insertion.
La plupart des gens que nous avons accueillis dans le cadre du GEIQ ont été embauchés, soit au moins une vingtaine depuis le début. C’est une volonté délibérée. Nous cherchons à recruter des jeunes qui veulent s’insérer et que nous allons former à un bon niveau. On les accompagne ; on est là pour qu’ils réussissent ; on fait parfois de gros efforts ; on leur laisse leur chance !
Le dispositif GEIQ est bien plus efficace que les dispositifs d’insertion qui emploient les jeunes deux jours par ici, deux jours par là… Ce qui ne sert à rien, en définitive. Pourtant, certains donneurs d’ordre rechignent. Nous faisons alors valoir l’intérêt du GEIQ ; notre argument : le GEIQ, c’est l’assurance d’une réelle insertion, c’est de l’insertion durable. » rhodanienne de carrelage (vénissieux ; 50