Au sortir du collège, Yussef Ounoughi ne sait quelle orientation professionnelle choisir. Sa rencontre avec un chef d’entreprise qui l’oriente vers le GEIQ 69 sera déterminante.
« Je ne savais pas quoi faire ; j’étais un peu à la rue ! » avant d’avoir rencontré le dirigeant de l’entreprise de peinture estrat- Bonche, Pierre Bonche, Yussef ounoughi ne savait pas vers quel
métier s’orienter. en sortant du collège, il songeait à la soudure, mais ne trouvait pas d’entreprise pour l’accueillir en apprentissage. aussi, lorsque son père lui propose de s’entretenir avec
Pierre Bonche, il accepte aussitôt. au cours de l’entretien, le dirigeant de l’entreprise de peinture estrat-Bonche informe Yussef ounoughi de l’existence du GeiQ 69 et des possibilités qu’offre ce dispositif
aux jeunes qui, comme lui, rencontrent des difficultés en matière d’insertion professionnelle. Convaincu, il signe un contrat de qualification d’un an. il est alors
formé au métier de peintre, alternativement en entreprise, chez estrat-Bonche, et chez les Compagnons du tour de France, route de Genas. À l’issue de ce parcours, alors que Pierre Bonche lui
propose un contrat d’embauche en CDi, Yussef ounoughi préfère travailler en intérim pendant quelque temps. Mais un peu plus tard, il finit par signer un CDI chez estrat-Bonche ; il a alors le statut
d’ouvrier qualifié.
C’était en 2005. aujourd’hui, il a 30 ans et, le plus souvent, il est responsable de chantier. « Je suis content d’avoir un bon job, surtout en ce moment, compte tenu des problèmes économiques. Dans mon entourage, plusieurs personnes
sont touchées par la crise ! », indique Yussef ounoughi qui reconnaît avoir eu de la chance de passer par le GeiQ 69. il ajoute, en souriant : « D’ailleurs, j’ai conseillé à mon petit frère Karim de suivre le même chemin que moi et de passer par le GEIQ. »